Bijou bijou, te réveille pas surtout - Compagnie Pour ainsi dire

 

dimanche 21 mars
16h

Durée : 1h environ

6 €, à partir de 9 ans

Bijou bijou, te réveille pas surtout

Compagnie Pour ainsi dire

 


C’est l’histoire d’un spectacle qui commence par les saluts. Dans l’ivresse des applaudissements, un jeune homme s’étourdit, tombe épuisé sur la scène et s’endort. Profitant de la magie du théâtre, ses camarades de scène le rejoignent dans le sommeil.

Comme dans toute pièce de théâtre, il y a un couteau posé au centre de la scène qui attend l’heure du crime, et une scène d’amour, écrite sur un coin de table et dont l’encre n’est pas encore sèche, qui sauve l’histoire d’un dénouement tragique.

Est-ce pour le crime ou pour l’amour que le jeune homme est là ? Doit-il se réveiller pour éviter qu’un cauchemar ne surgisse ? Ou bien doit-il attendre endormi que le rêve s’accomplisse ? 

 Rêve éveillé 

Inspirés des fées penchées sur le berceau de La belle au bois dormant, les personnages se penchent sur le sommeil d’un garçon qui se berce d’illusions.
Le temps de l’adolescence est un temps de grand épuisement.

Aux tempêtes intérieures répond un état d’hibernation. Comment cheminer dans ce moment de total abandon de soi pour qu’au réveil on puisse trouver un sens à sa vie et qu’autour de nous, le monde soit enfin apaisé ?



Texte : Philippe Dorin. Mise en scène : Sylviane Fortuny. Avec : Jean-Louis Fayollet, Déborah Marique, Catherine Pavet, Morgane Vallée, Johann Weber. Scénographie : Sylviane Fortuny. Assistanat à la mise en scène : Simon Gelin.
Lumière : Kelig le Bars. Musique : Catherine Pavet. Costumes : Sabine Siegwalt. 
La compagnie Pour ainsi dire est soutenue par le Ministère de la Culture (DRAC Île­‐de-France) et le Conseil Départemental du Val-de­-Marne. Coproduction : Théâtre de la Cité-centre dramatique national de Toulouse, TGP-centre dramatique national de Saint-Denis, Théâtre des Bergeries-Noisy-le-Sec, MAC-Maison des Arts de Créteil, Les 3T-Scène conventionnée de Châtellerault, Théâtre des 4 saisons-Gradignan. Philippe Dorin a bénéficié du programme de résidences d’écrivains de la Région Île-de-France pour l’écriture du texte.

© Pour ainsi dire